C’est un fait : je n’ai pas démarré l’apprentissage d’une nouvelle langue depuis de nombreuses années. Ce qui peut surprendre dans notre univers « polyglotte », qui pousse à la boulimie et à l’accumulation d’un grand nombre de langues. Ici, j’essaie d’apporter un autre son de cloche, en me basant sur ma propre expérience. Car si les langues sont toujours une richesse, la recherche sans fin de « l’hyperpolyglossie » est une quête vide de sens.
3 mai 2021